Mourir d’amour
Une amitié s’en va un jour,
Mais dans ce cœur, elle est restée.
Ce n’était qu’un rêve d’amour
Que ce cœur tentait de garder.
Mais c’est trop tard, il est parti
Si vite qu’on ne put songer
Qu’il a laissé un cœur flétri
Et une âme plus que rongée.
Pourquoi penser ? Pourquoi se dire
Que la vie n’est pas terminée,
Quand on en a vécu le pire,
Et que le but en est coupé ?
Ce cœur ne cesse de saigner.
Tout tailladé, voulant mourir.
Le sang coule des deux poignets,
Il était forcé d’en finir.
Pour l’enterrer, elle était là.
Elle pleurait, culpabilisait,
Et refusait d’avoir fait ça,
Car le pourquoi, elle le savait…